Séjour à Rome : pour ne rien rater de la ville éternelle
Quoi
faire et quoi voir à Rome pendant 5 jours
J’ai atterri à Rome par un vendredi gris et tristounet. Mais rien ne pouvait alors altérer mon humeur. Surtout pas un ciel d’automne. Je posais enfin les pieds en sol italien. Au cours des prochains jours, j’allais pénétrer dans les hauts lieux de l’histoire antique et catholique qui, jusqu’à présent, n’étaient encore que des pages d’histoire bien théoriques ou des images tirées des Astérix de l’enfance. Et je comptais bien en profiter pleinement. Et enfin (devrais-je dire « mais avant tout »?), j’allais y retrouver chéri pour faire la découverte de la ville en sa compagnie. Comment aurais-je pu faire la gueule devant 2 ou 3 nuages pluvieux?!?
On
s’était donné rendez-vous à la gare Termini. Là où tout Rome finit par se
retrouver. On s’est bien regardé dans les yeux quelques minutes, joie de se
revoir oblige, le temps d’un déjeuner sur une terrasse pour ajuster le corps et
l’esprit à ce qui suivrait et en réalisant doucement la chance que j’avais
d’être dans ce pays avec lui mais j’ai rapidement appris une première leçon
indispensable à retenir avant d’arpenter les rues de Rome. Ici, il ne faut
jamais oublier de lever les yeux. Peut-être un peu parce que chéri est très
grand mais surtout parce que la beauté et l’histoire de la ville éternelle
s’inscrivent de son pavé jusqu’au sommet de ses monuments!
On lève les yeux pour admirer l’extérieur mais aussi l’intérieur des bâtiments dont le dôme de l’église Santa Agnese in Agone sur la Piazza Navona qui date du XVIIe siècle…
Incursion au Vatican
Presque
aussitôt entrée en Italie, j’ai voulu la quitter! On le fait tous l’espace de
quelques heures pour passer sur le territoire voisin. Un état indépendant au
coeur d’une capitale, c’est quand même intriguant. Je savais que j’y viendrais
un jour. C’était donc le moment de m’emplir les yeux et la tête de cette
splendeur, de cette richesse et de prendre la mesure de son passé. En entrant
dans la basilique Saint-Pierre, je n’ai eu qu’un seul mot en tête :
grandiose. Mais le Vatican, ce n’est pas que la plus grande église catholique
du monde, reconnaissable entre toutes et de cette place du même nom d’où l’on attend,
à intervalle plus ou moins régulier, une petite fumée blanche. C’est aussi un
cours accéléré en histoire de l’art, un carrefour de toutes les cultures et une
construction emblématique qui a façonné la face du monde et l’histoire de
l’humanité.
Petite page d’histoire du Vatican
La légende veut que Saint-Pierre, l’apôtre bien connu, se soit rendu à Rome en mission évangélique où il mourut en martyr, crucifié tête en bas, sur ordre de Néron et fut enterré sur la colline du Vatican. Quelques années auparavant, il avait d’abord été nommé premier évêque de Rome, d’où démarrerait l’histoire chrétienne en Occident. Sur son lieu de sépulture, l’empereur Constantin fit élever une basilique dès les premières années du IVe siècle.
Il fallut attendre le XVIe
siècle pour voir s’y implanter le bâtiment actuel et encore plus longtemps,
soit seulement en 1929, suite aux accords de Latran, pour que l’état italien
reconnaisse les frontières du Vatican.
Le Vatican a vu passer de nombreux artistes italiens au cours des siècles. Évidemment, on pense à Michel-Ange qui reçut le mandat de peindre le célèbre plafond de la chapelle Sixtine en 1508 mais à une certaine époque, on pouvait aussi y croiser Léonard de Vinci ou Raphaël qui peignit les appartements du Pape Jules II aujourd’hui renommés les Chambres de Raphaël, qu’on peut voir lors d’une visite des musées et qui sont magnifiques!
Une règle non écrite dit qu’à Rome, on ne
construit jamais de bâtiment dépassant en hauteur Saint-Pierre-de-Rome!
Je
recommande chaudement la visite guidée des musées du Vatican et de la chapelle
Sixtine. Pour des raisons pratiques puisqu’on ne fait pas la file pour entrer
et qu’on peut accéder à la basilique sans attendre pour y pénétrer (hors
saison, j’ai estimé l’attente à la basilique entre 45 à 60 minutes). Mais aussi
parce qu’on y apprend beaucoup et qu’on a même droit à quelques anecdotes
papales. Pour connaître les détails de la visite guidée que j’ai faite, c’est
dans cet article. Si vous ne le saviez pas, il est interdit de
photographier l’intérieur de la chapelle Sixtine. Et contrairement à ce que je
croyais, ce n’est pas dans un objectif de préservation mais plutôt parce que la
dernière restauration des œuvres de la chapelle fut financée par de riches
mécènes qui ont acquis du même coup les droits de reproduction. Bref, pendant
les quelques minutes où vous accéderez à l’antre de la chrétienté, ouvrez bien
grand les yeux du plancher jusqu’au plafond!
Circuit proposé pour la journée :
Sortir au métro Ottaviano situé à 500 mètres de l’entrée du Vatican. Comptez un bon 3 heures de visite. On en profite pour se rendre jusqu’au Château Saint-Ange et se balader dans le parc qui l’entoure et le long du Tibre. Retour par le métro Ottaviano ou Lepanto.
Total de kilomètres parcourus : environ 3 km (sans les détours, voulus ou pas)!
La grande bouffe
J’avais
aussi un autre plan pour Rome (et l’Italie en général) : faire une Josée
Di Stasio de moi-même (vous vous souvenez de ses émissions spéciales en
Italie?) et manger des pâtes. Me goinfrer de toutes les pâtes et de toutes
les variétés de sauces, partout, tous les jours! Ça a commencé doucement avec
des linguine Cacio e Pepe (poivre et pecorino romano) et puis, il y a eu des
carbonaras dont mon estomac rêvait (des vraies carbonaras, sans crème
hérétique et avec des lardons parfaitement croquants et tendres à la fois)
et des raviolis dans une simple sauce tomate et parmesan à se rouler par terre.
Il y a eu aussi des lasagnes mémorables et des gnocchis assaisonnés
magnifiquement.
Manger
à Rome, c’est avoir accès à toute la cuisine traditionnelle italienne et juste
pour ça, j’y retournerais. Un sandwich au jambon cru mangé sur un banc de parc,
une mozzarella di Bufala dont j’ai savouré chaque bouchée, un vinaigre
balsamique onctueux versé sur des tranches de tomate, des tiramisus du plus
classique à celui réinventé mais jamais décevants, un croissant à la pistache
payé trop cher mais dont j’ai raffolé, un premier gelato au caramel l’instant
d’une pause, des pizzas aux multiples garnitures, une minestrone longtemps espérée
et des cappuccinos jusqu’à plus soif bus chaque fois au soleil sur des
terrasses ici et là. J’ai eu ouï-dire qu’on ne boit pas de cappuccino passé
midi à Rome. Qu’à cela ne tienne, j’ai pleinement assumé mon statut de
touriste! Mes souvenirs culinaires de l’Italie auront été nombreux et marquants…
et dignes d’une émission de Josée, n’est-ce pas?
Pour toutes mes bonnes adresses gastronomiques, vous les trouverez ici!
Rome antique et romantique
À Rome, on peut bien passer des heures yeux dans les yeux, en invoquant une déesse quelconque de la mythologie (et accessoirement, en buvant un aperol spritz), pour faire tomber sur nous l’esprit du romantisme. Mais on peut aussi, si on préfère ça plus simple, se balader main dans la main, au hasard des rues du centre historique, pour se plonger plusieurs siècles en arrière afin de s’imprégner de l’histoire de la Rome antique. Croyez-moi, marcher dans les pas d’une armée de légionnaires portant l’armure ou s’imaginer en vestale prenant la pose le long du Tibre est bien suffisant pour devenir sentimental!
Quoi ne pas rater dans les quartiers historiques de Rome
La Piazza Navona
Érigée sur l’ancien emplacement d’un
stade antique, on s’arrête à la place Navona pour admirer ses fontaines dont
celle des quatre fleuves, œuvre de Le Bernin et l’intérieur de l’église
Santa Agnese in Agone et sa façade incurvée.
Panthéon de Rome
Temple du IIe siècle, il servit aussi comme tribunal, fut converti en église au Moyen-Âge et renferme les tombeaux d’artistes célèbres et de rois italiens dont celui du peintre Raphaël. Attention, certains jours, il ne se visite que sur réservation et reste fermé aux visiteurs lors de cérémonies religieuses.
Campo de’ Fiori
Grand marché de Rome à l’endroit où se trouvait, autrefois, un vaste champ fleuri (d’où son nom), on y fait quelques emplettes (on ramène des sachets d’épices italiennes qui ne prennent pas de place dans un sac à dos) et on va contempler la façade du palais Farnèse, bâtiment emblématique de la Renaissance italienne, construit à la demande du Pape Paul III et où l’on trouve actuellement l’ambassade de France.
Le forum romain
Là où la ville est née. Là où se déployait la vie politique, religieuse et culturelle de tout un empire. Là où les empereurs faisaient les lois, festoyaient, planifiaient les combats, priaient, se mariaient et parfois… mouraient assassinés! Après le Vatican, ce fût, pour moi, la visite la plus passionnante de la ville.
Le Colisée
S’il y a bien un incontournable lors d’un voyage à Rome, c’est ce monument! Impressionnant par sa taille, sa superficie, sa splendeur passée et toutes ses histoires de combats de gladiateurs et d’esclaves jetés aux fauves. Saviez-vous que c’est l’empereur Vespasien qui le fit construire vers 70 après J.C. ? Et que c’est donc dire que ni Jules César, ni Astérix n’y ont jamais mis les pieds!
Comme
expliqué ici, j’ai fait une visite guidée du Colisée et du forum
romain. Toutefois, si c’était à recommencer et parce qu'on aurait parfois aimé s’attarder à quelques endroits sur ces deux sites touristiques, j’opterais sans
doute pour un audioguide et une visite autonome.
Circuit proposé pour la journée :
Au départ de la Piazza Navona, on se rend jusqu’au Panthéon pour se diriger par la suite vers Campo de’ Fiori et suivre le Tibre. Puis, on bifurque vers le Forum romain et le Colisée. Comptez au moins 3 heures pour ces deux derniers sites. Retour par le métro Colosseo.
Total de kilomètres parcourus : 3 km
(sans la balade sur le site du forum romain).
Dolce vita à Rome
Quand je voyage dans une grande ville, j’ai toujours besoin de prendre une demi-journée pour me reposer dans un parc, faire un pique-nique, me promener tranquillement en observant la faune locale dans ses activités de tous les jours entre deux allées de verdure. Et dans la capitale, c’est à la Villa Borghese que j’ai expérimenté la dolce vita à la romaine! Des jardins ornés de bosquets fleuris, des enfants tournant sur des carrousels ou tentant leur chance à des jeux d’adresse, un petit temple au bord d’un étang où flottent quelques barques et même des oies et des tortues. Tout pour créer un décor propice à la paresse!
La parfaite Dolce Vita à Rome
La fontaine de Trevi
Autre incontournable de Rome, l’icône du film de Fellini reste la plus importante fontaine de la ville. Construite sur commande du Pape Clément XII, elle tient son nom des 3 voies qui y menaient. La coutume veut qu’en jetant une pièce de monnaie dans la fontaine de Trevi, dos à celle-ci, de la main droite vers l’épaule opposée, on s’assure de revenir dans la ville éternelle un de ces jours. C’est 14000 euros par semaine qui y sont lancés. Si on estimait sa construction à environ 17000 écus romains, on peut dire que ce fut un investissement profitable!
Piazza di Spagna
La place d’Espagne tire son nom de sa prise de possession par les espagnols, en 1620, afin d’y ériger son palais et ambassade. L’escalier monumental qui domine la place nous amène jusqu’à l’église gothique de la Trinité-des-Monts dont l’érection fut financée par la France. La fontaine Barcaccia, en bas de l’escalier, œuvre des Le Bernin (père et fils), fait partie du célèbre réseau d’aqueduc de Rome.
La Villa Borghese
En 1605, le cardinal Borghese reprend un
vignoble pour créer un parc qui accueillera sa collection d’art. Au cours des
ans, la famille l’améliore, le garnit, le fleurit. On y recense pas moins de 6
importants musées ou galeries d’art et même un zoo et c’est certainement l’un
des plus beaux parcs où je me suis prélassée! Avec des enfants, c’est un arrêt
gagnant. Et il y a des camions de rue un peu partout pour acheter une glace ou
un panini.
Surprise totale à la légendaire fontaine de Trevi! Je m’attendais à des hordes de touristes entassés, jours et nuits, incapable de m’en approcher. Mais à cette période de l’année, j’ai pu facilement me faufiler jusqu’à son bord pour accomplir mon petit rituel. C’est sans doute autre chose en été, par contre. Mais attention, il est interdit de se prendre pour Anita Ekberg en toute saison!
Crédit photo: One chaï |
Faire son voeu à la Fontaine de Trevi, c'est du sérieux!
Circuit proposé pour la journée :
Sortir au métro Barberini pour se diriger vers la Fontaine de Trevi. Puis, se rendre jusqu’à la Piazza di Spagna et monter l’escalier. De là, rejoindre le parc de la Villa Borghese et redescendre jusquà la Piazza del Popolo. Retour par le métro Spagna ou Lepanto.
Total de kilomètres parcourus :
environ 3,2 km (sans la balade dans le parc).
Veni, vidi, vici
Paraît qu’il fallait y venir et voir le quartier de Trastevere. Mais nul besoin de le vaincre. S’agit simplement d’arpenter ses rues, de s’enfoncer dans quelques ruelles et de s’arrêter sur la terrasse d’une trattoria pour se laisser gagner par l’authenticité à la romaine que le quartier a conservée malgré qu’il soit devenu le quartier à la mode fréquenté par la jeunesse urbaine.
Où s’arrêter à Trastevere et dans son voisinage
Basilique Santa Maria in Trastevere
Située sur la jolie place du même nom, on
entre à la basilique Sainte-Marie-du-Trastevere. Construite au IVe
siècle, paraît que c’est ici que fut célébrée la première messe publique de
Rome.
Fontana dell’Acqua Paola
Bien moins connue que sa petite sœur, la Fontaine à eau Paola reste remarquable par ses arcs et ses hautes colonnes de marbre. Datant de 1612, elle fournissait l’eau potable aux habitants du quartier. Elle porte à son sommet les armoiries de la famille Borghese.
Belvédère del Gianicolo
C’est la terrasse de Rome! On rejoint la Terrazza
Piazza Garibaldi en longeant des rangées de grands arbres et de bustes
d’italiens qui sont passés à l’Histoire. La promenade est immensément agréable!
Du haut de la colline du Janicule, avec Rome à ses pieds, on se croirait presque le héros de Sorrentino, profitant de ce que la ville a de mieux à offrir, au moment où le soleil décline à l’horizon et que toutes les coupoles de la ville se parent de doré. Je suis venue, j’ai vu et j’ai vaincu! Et je vous jure que j’ai croisé Nanni Moretti au belvédère (bon, chéri n’était pas complètement convaincu mais moi, je l’ai reconnu)!
Circuit proposé pour la journée :
Pas de métro dans Trastevere. La station
la plus près est celle de Circo Massimo et à sortie, on en profite pour voir
l’ancien circus maximus (et se prendre pour un spectateur de la célèbre
course de chars dans Ben-Hur!) ou marcher vers le Tibre, le traverser et
rejoindre le quartier de Trastevere. Après avoir fait le tour du quartier,
direction nord-ouest jusqu’au belvédère del Gianicolo. Si on retourne en métro,
il faudra poursuivre vers le Vatican (métro Valle Aurelia, Cipro ou Ottaviano)
ou retourner sur vos pas jusqu’à Circo Massimo. Total de kilomètres
parcourus : entre 7,2 km et 8,5 km.
Des kilomètres de pavé
Oui,
il faut lever la tête à Rome mais il ne faut pas oublier de parfois baisser les
yeux vers le sol. Ce n’est que pour cette unique raison que j’ai passé mon
dernier après-midi au Parc dell’Appia Antica, au sud de Rome. Parce que c’est
ici que passait autrefois la légendaire voie Appienne, la route romaine la
mieux préservée qui reliait Rome au sud du pays. Marcher sur ces cailloux,
c’est marcher sur les pas des grands empereurs au milieu de vestiges antiques
et de lapins (il y en a vraiment partout) ou même de rencontrer des
troupeaux de moutons! Avouez que ça surprend quand même dans une si grande ville!
"Marcher sur ces cailloux, c’est marcher sur les pas des grands empereurs au milieu de vestiges antiques..."
Circuit proposé pour la journée :
Sortir au métro Colli Albani pour se diriger vers le parc dell’Appia Antica. Retour par le métro Furio Camillo.
Total de kilomètres parcourus :
environ 2,2 km (sans la balade dans le parc).
Enfin,
lorsque vous repasserez par la station Termini (parce que vous y repasserez),
faites le détour jusqu’à la basilique de Santa Maria Maggiore à quelques mètres
de la gare. Pour voir une dernière église romaine avant de quitter mais pas
n’importe laquelle. Sainte-Marie-Majeure, située au sommet de la colline de
l’Esquilin existe, comme on la connaît, depuis le Ve siècle. Elle
renferme une autre chapelle Sixtine, le tombeau du Bernin, la chapelle
funéraire des cardinaux Sforza conçue par Michel-Ange, la plus vieille crèche
de Rome et une porte sainte (bon, ça je l’ai appris après ma visite en
fouillant un peu afin de trouver la raison pour laquelle les ouailles passaient
l’embrasser)! On y vient en pèlerinage depuis des siècles puisque
légalement, elle appartient au Saint-Siège et on se retrouve donc à l’extérieur
du territoire italien. Ma façon de boucler la boucle de ce séjour à Rome en
retournant une dernière fois en terre papale!
Quand tu vois
des gens embrasser une porte, tu la prends en photo en te disant qu’elle doit
avoir de l’importance!
J’ai embrassé entièrement, pendant cinq jours, tous les clichés de la ville aux sept collines sans même me sentir fautive. J’ai senti, goûté et admiré tous ses trésors en délicieuse compagnie. Rome a répondu complètement à ce pourquoi j’aime voyager. Vivre les lieux où se sont écrites les grandes pages de l’histoire de l’Humanité et découvrir la cuisine d’un pays. N'y-a-t’il pas gastronomie plus emblématique que celle de l’Italie?
Voyage
effectué en octobre 2022.
Pour des conseils pratiques sur ce voyage, mes bonnes adresses gourmandes, les hébergements testés et mon budget, c’est par ici.
Pour faire la visite de Naples et de sa région, c'est par là!
VOUS AIMEZ? ÉPINGLEZ-MOI!
cette ville est merveilleuse! J'y retournerais volontiers, tes photos donnent très envie!
RépondreEffacerImpossible de ne pas vouloir y retourner. J'ai fait mon voeu, on verra bien!
EffacerJe ne m'en lasse pas je ne saurais dire combien de visites j'y ai fait minimum 10 et j'y retournerai sûrement encore..faut dire que ma famille y est à environ 300kilometres...
RépondreEffacerC'est de la chance, ça! Tu as fait ton voeux à la fontaine pour y retourner si souvent? ;)
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