lundi 20 août 2018

Visiter Toulouse avec un guide




Parfois, lorsqu’on débarque dans une nouvelle ville, on ne sait pas trop comment l’aborder. Trop de lieux à voir, de coins secrets à découvrir, d’histoires à connaître. C’était un peu mon cas à mon arrivée à Toulouse : par où devrais-je commencer??!! Alors, lorsque l’invitation de l’office de tourisme de Toulouse est arrivée, laquelle me proposait de tester certaines visites guidées de leur programme estival, j’ai sauté sur l’occasion.

Par où toute visite de Toulouse doit commencer: le donjon du Capitole où se trouve l'office de tourisme de la ville




Je l’ai déjà dit sur le blogue, prendre part à un tour accompagné lorsqu’on met les pieds à un endroit pour la première fois, ça représente souvent une introduction parfaite. On y apprend les grandes lignes de son Histoire, on visite les monuments incontournables et on admire ses plus beaux points de vue. Mais grâce aux visites offertes à Toulouse, j’ai aussi découvert que même si on croit bien connaître une ville ou qu’on y est déjà depuis un bout de temps, on réussit toujours à être surpris par ce que peuvent nous apprendre ces circuits organisés, bien loin des clichés touristiques (surtout lorsque le guide connaît et aime bien sa ville, comme ce fut le cas à chacune des visites auxquelles j’ai participé).





Je me suis inscrite à trois visites guidées échelonnées tout au long des (presque) deux semaines que j’ai passées dans la ville rose. Dès les premiers jours, pour mieux apprivoiser ce nouvel univers, j’ai opté pour l’une des nombreuses visites plus basiques qui présentent un concentré des grands essentiels du paysage toulousain. Plusieurs choix s’offrent à vous. J’aurais pu découvrir Toulouse par ses monuments emblématiques ou par la visite d’un quartier en particulier, j’ai plutôt choisi la balade du patrimoine qui m’a fait voir un condensé des grands sites historiques et des endroits les plus photogéniques le long de la Garonne. Idéal lorsqu’on met les pieds pour la première fois ici pour mieux prendre ses marques dans cette cité.

Le Capitole de Toulouse

Je ne peux que vous recommander une visite du Capitole: son intérieur est de toute beauté!

Basilique St-Sernin: symbole de la ville mais aussi figure importante d'une légende à la base de la fondation de Toulouse racontée pendant cette visite




J’ai aussi participé, à mi-parcours de mon séjour, à une visite plus spécifique intitulée «petit tour dans les cours» qui m’a permise, entre autres, de franchir les portes d’anciens hôtels particuliers, de découvrir la beauté de certaines cours cachées du public et de me familiariser avec la petite histoire architecturale de Toulouse.






Enfin, à la toute fin de mon voyage, j’ai pris part à une dernière visite nommée «Toulouse secrète ou la ville méconnue». En fait, pour l’anecdote, j’avoue que c’était aussi l’occasion de rencontrer une copine virtuelle, Cindy du blogue And so my dreams came true, avec qui j’ai pu sillonner la ville pendant ces deux heures de balade. Cette promenade qui se veut insolite nous a donné la chance d’apprendre plusieurs petits secrets inédits qui nous ont été dévoilés par notre guide, qu’ils soient historiques, politiques ou artistiques. Je crois que même Cindy, toulousaine depuis plusieurs années déjà y a approfondi ses connaissances sur sa ville d’adoption, c’est tout dire! Je vous invite d’ailleurs à passer faire un tour sur son blogue si vous projetez un voyage à Toulouse puisqu’elle en est une excellente ambassadrice.

Qu'est-il donc arrivé à la statue de cette place? La visite "Toulouse secrète ou la ville méconnue" y répondra!

Vous saurez tout lors de ces visites sur les maisons à colombages de Toulouse

Savez-vous pourquoi tous ces points, en bas à droite, se retrouvent sur les écriteaux de la ville?

L'hôtel de Pierre dont l'histoire de sa construction rappelle, à certains égards, celle de notre stade olympique!

Ce que j’ai le plus apprécié de toutes ces visites? D’abord, la grande maîtrise de tous les accompagnateurs pour leur sujet qui réussissent à répondre à toutes les interrogations des participants. J’ai aussi un penchant dans la vie pour l’anecdote historique croustillante, rigolote ou surprenante et, à ce niveau, chacun des tours guidés a réussi à me révéler des faits étonnants que je ne soupçonnais pas. Aussi, les guides savent bien s’adapter à leur groupe selon les intérêts de chacun ou simplement selon notre vitesse de marche et peuvent même vous faire quelques recommandations pour mieux poursuivre votre exploration par la suite.

La grande roue de Toulouse qui s'installe sur la rive de la Garonne chaque été. Oui, j'y ai fait un tour pour admirer la ville d'en haut en compagnie de Cindy!




Le programme de l’office de tourisme de Toulouse est passablement chargé et diversifié. Vous trouverez assurément une visite qui vous intéressera. Certaines vous permettent de découvrir la gastronomie locale ou l’art de rue, d’autres sont adaptées spécifiquement pour les enfants. Il y a aussi des tours dédiés aux plus sportifs (notamment des balades en vélo) ou même à tendance scientifique (n’oublions pas que nous sommes au cœur d’une région passionnée d’aéronautique). Et toutes sont dirigées par des guides-conférenciers qui connaissent bien leur domaine respectif.


Pour mieux profiter de Toulouse et de son plein potentiel touristique, je recommande également l’achat de la carte Pass Tourisme qui permet l’accès gratuit aux principaux musées et sites de la ville et à l’une des visites guidées de votre choix, des réductions sur certains circuits et des déplacements illimités sur tout le réseau de transports en commun (je vous reparlerai aussi dans un autre article de mes endroits « coups de cœur » à Toulouse découverts grâce à ma carte). Cette carte complètera bien votre séjour dans la ville.

Passe 24 heures : 18€
Passe 48 heures : 28€
Passe 72 heures : 35€

Pour plus de renseignements : Pass Tourisme

Il est aussi possible de faire une balade en vélo le long du canal du midi parmi les visites proposées par l'office de tourisme de Toulouse

Le musée des Augustins est l'un des nombreux musée dont l'accès est gratuit avec l'achat de la carte Pass Tourisme

Si c'est le Street-Art qui vous intéresse, il y a aussi une visite pour vous!
Crédit photo: Pauline du blogue Petites évasions grandes aventures 

Pour tout savoir sur les visites et programmes offerts par l’office de tourisme de Toulouse ou vous procurez la carte Pass Tourisme, c’est par ici : Office de tourisme de Toulouse
ou directement en vous rendant au Donjon du Capitole!

Pour suivre toutes les activités à venir de l’office de tourisme de la ville sur ses réseaux sociaux, c’est ici :





J’ai été invitée gracieusement à participer aux visites guidées par l’Office de tourisme de Toulouse lors de ce séjour mais toutes les opinions émises dans cet article reflètent complètement ma pensée (si je n’avais pas aimé, je ne vous en aurais pas parlé).

  

Pour mieux découvrir d’autres grandes villes de France, lisez (ou relisez) mes articles suivants :



Et si Toulouse figurent dans vos plans pour les prochains mois, n’oubliez pas de me suivre sur les réseaux sociaux pour ne rien manquer de mes futurs récits dans cette ville! Je vous raconterai bientôt, entre autres, mes découvertes faites grâce à une deuxième blogueuse toulousaine devenue mon amie depuis! À suivre!




mardi 7 août 2018

Safari en Camargue





Je rêvais depuis longtemps de faire un safari. Et je rêvais aussi de voir la Camargue. Mais lorsqu’on voyage sans voiture comme je l’ai fait ces derniers mois en France, aller voir la Camargue de plus près peut devenir plus ardu. Heureusement, grâce à Camargue Alpilles Safaris et l’Office de tourisme d’Arles, j’ai pu réaliser, avec bonheur, une escapade dans la région que je vous raconte ici.




Si vous me suivez depuis quelques temps, vous le savez déjà, j’adore aller à la rencontre de la faune ailée des réserves naturelles. C’est donc avec une joie non dissimulée (auprès de mes plus proches amis et de mon petit frère à qui j’ai rabattu les oreilles, ou plutôt la boîte de messages, avec ma hâte d’y être!) que j’attendais cette rencontre avec les célèbres flamants roses camarguais. Rendez-vous fut pris en juin dernier derrière le bureau de l’office de tourisme d’Arles avec Sandrine, guide pour Camargue Alpilles Safaris, pour une aventure sauvage de quatre heures.


La Camargue est une région naturelle française, une zone humide de 150 000 hectares classée comme réserve de biosphère et parc régional naturel.

- Source : Wikipédia

Vous les apercevez au loin??? Nous y serons quelques heures plus tard...

C’est à bord d’une vraie jeep de safari que j’ai embarqué en compagnie de cinq autres touristes désireux, tout comme moi, de découvrir la faune de la région et ses paysages. Parce que la Camargue, ce n’est pas seulement des flamants roses. C’est aussi des élevages de chevaux sauvages, une culture tauromachique ancestrale, une multitude d’oiseaux de toutes espèces, un monde agricole unique, de petits domaines invitants (aussi appelés «mas») et, ne l’oublions pas, de magnifiques paysages.







Les animaux de la Camargue

Dès que l’on traverse le pont de Trinquetaille à Arles et que l’on entre dans le quartier du même nom, on est officiellement en Camargue. Il ne suffira que de quelques minutes de route pour apercevoir nos premiers chevaux blancs. Il faut savoir que les vrais chevaux de Camargue sont blancs et plus petits que la moyenne. Mais ne dites surtout pas à leurs éleveurs qu’ils possèdent des poneys, c’est que ces troupeaux font la fierté de la région et on les dresse pour être montés et rassembler les manades (troupeaux de taureaux).


On dit que les chevaux et les taureaux de Camargue sont sauvages mais seulement parce qu’ils sont élevés en liberté sur le territoire. En réalité, chaque troupeau appartient bien à un éleveur et chaque animal est marqué du sceau de son propriétaire à sa naissance.

Vous avez remarqué la marque de l'éleveur?




La culture tauromachique est fort présente en Camargue. Ce qui semble une évidence lorsqu’on sait que la région possède sa propre race de spécimen : le taureau Camargue. Élevés en semi-liberté, les taureaux Camargue n’ont jamais pu être domestiqués et servent toujours pour la course et les jeux mais aussi pour leur viande bénéficiant d’une appellation d’origine contrôlée. Grâce à Camargue Alpilles Safaris, j’ai pu les approcher (mais en gardant toujours mes distances, cela va de soi!) et observer certaines manades dans leurs pâturages et je peux affirmer que ça reste bien impressionnant. La culture est tellement ancrée dans la population qu’on y érige même des statues en hommage aux plus dignes représentants de la race!




Garlan, digne représentant, aujourd'hui retraité dans un champs de la Camargue

Il existe bien d’autres races animales en Camargue que vous rencontrerez peut-être en safari notamment la tortue cistude, le lézard ocellé ou le ragondin. Pour ma part, j’ai eu la chance unique d’apercevoir un bébé sanglier (c’est Obélix qui aurait été content!) mais disons que nous ne nous sommes pas éternisés non plus. Qui dit bébé, dit habituellement maman à proximité alors nous l’avons simplement observé à partir de la jeep! Mais ça demeure tout de même un moment fort de cette escapade.


Petite rencontre forte en émotions (pour moi... et pour lui)!


Les villes, villages et habitations de la Camargue

En matière urbaine, la Camargue c’est d’abord Arles mais aussi Aigues Mortes (6000 habitants), le village de pêcheur Le Grau du Roi (8000 habitants), la station balnéaire La Grande Motte (8000 habitants), Salins de Giraud (2000 habitants) et Saintes-Maries-de-la-Mer (2500 habitants), entre autres.


La croix camarguaise qui s'affiche fièrement dans les villes et villages

C’est à Saintes-Maries-de-la-Mer que notre équipage a pu faire une halte au cours de ce circuit et nous y sommes atterris en plein championnat de France du barbecue (ça ne s’invente pas)! Vous imaginez comment j’ai pu saliver aux effluves de viandes et légumes grillés qui provenaient du centre??!! Le village est un lieu de pèlerinage célèbre puisque la légende veut que Marie-Madeleine (oui, oui, LA Marie-Madeleine du Nouveau-Testament!) accompagnée de Marie-Jacobé et Marie-Salomé auraient dérivé de la Palestine jusqu’ici en barque pour fuir les persécutions religieuses. Il était donc impératif de profiter de ce petit temps libre pour me rendre jusqu’à l’église Notre-Dame-de-la-Mer construite comme une forteresse et qui abriterait les reliques de ces saintes copines. C’est aussi dans ce village que j’ai senti le plus fortement le culte du cowboy de Camargue avec ses arènes, son culte du taureau qui se déploie près de la plage et ses chapeaux vendus aux coins de toutes les rues et en regardant les camarguais partir en excursions équestres.


L'église Notre-Dame-de-la-Mer


Les plages méditerranéennes sont aussi présentes en Camargue
Championnat de barbecue à Saintes-Maries-de-la-Mer!

Cette culture ancestrale, on la remarque aussi au détour des petites routes perdues du territoire. Deux autres arrêts se sont ainsi imposés au cours de cette excursion. Après avoir traversé quelques tout petits bourgs d’où s’élève à peine un clocher d’église, une drôle d’habitation apparaît au bord de la route. Sandrine stoppe le véhicule pour nous expliquer la vie des «gardians», ces hommes engagés comme ouvriers agricoles, montant fièrement un bel étalon blanc pour rassembler les manades, portant habituellement les sabots et le chapeau et vivant dans ces espèces de cabanes de roseaux. L’image est tellement romantique que j’ai immédiatement envie de devenir gardiane à mon tour (le terme féminin existe réellement)! Qui plus est, j’apprends que ce métier se pratique toujours mais, ce qui est encore plus tentant, c’est que le côté rudimentaire de cette vie quotidienne d’un siècle passé a su intégrer la modernité du XXIe siècle à la profession. Je largue tout et je m’engage???


La cabane rustique du gardian



Enfin, juste avant de rejoindre Saintes-Maries-de-la-Mer, on nous fait entrer sur les terres d’un «mas», ces petites exploitations agricoles où l’on pratique l’élevage de chevaux et de taureaux. En témoigne d’ailleurs la construction d’une petite arène dans la cour du domaine. De nos jours, plusieurs de ces domaines ont été reconvertis en lieux de villégiature pour les touristes de passage et on en croise plusieurs sur la route (vous me voyez venir pour une prochaine fois??!! Parce que oui, j’espère qu’il y aura une prochaine fois pour approfondir mes connaissances de cette région et retourner faire encore plus de photos d’encore plus d’espèces).






Les milieux naturels et agricoles de la Camargue

Il n’y a pas que des animaux ou des villages à voir en Camargue. Les paysages y sont magnifiques. En parcourant les petites routes de la région, notre guide nous montre et nous explique tout, tout, tout sur ses milieux naturels et les différentes cultures qu’on y exploite.




Dominant le secteur agricole de la Camargue, le riz est devenu la plus importante production céréalière de la région. Après l’Italie, c’est ici que sa culture est la plus répandue en Europe. Cette culture inondable lors de la récolte permet le dessalement des terres qui rend l’exploitation d’autres céréales possible. On y cultive le riz blanc, le rouge et le noir. Lors de mon passage en juin, le vert des rizières qui contrastait avec le bleu du ciel rendait le décor sublime!


Conseil pour éviter l’attrape-touriste : il n’est vraiment pas recommandé d’acheter les trois sortes de riz vendus ensemble, dans un même paquet. Leur cuisson étant fort différente, vous vous retrouveriez avec certains grains trop cuits alors que d’autres ne le seront pas assez!

Rizière en Camargue

Le territoire rural de la Camargue accueille également, entre autres, des plantations de blé, de vignes, de maïs ou de tournesol. Mais qui dit Camargue, dit aussi climat très sec. En 2017 par exemple, certains champs n’ont pas vu, pendant des mois, l’ombre d’une seule goutte de pluie! Mais les habitants sont ingénieux et ont mis au point un excellent système d’irrigation développé dès le XVIe siècle mais vraiment au point depuis le XIXe qui permet le pompage des eaux du Rhône distribuées dans les multiples kilomètres de canaux et géré le plus souvent de façon collective.





La Camargue c’est aussi un immense milieu aquatique quasi-légendaire où nous mena notre guide : l’étang de Vaccarès. Long de 12 kilomètres, il n’a pas plus de 2 mètres de profondeur et il constitue la plus vaste aire naturelle et préservée de ce territoire. Mais avant tout, il représente l’endroit que j’attendais impatiemment d’admirer pour observer tous les migrateurs qu’on y retrouve (ai-je besoin d’ajouter que c’est ici qu’il faut garder les yeux grand ouverts?)!





Les oiseaux de la Camargue

En roulant sur le chemin qui longe l’étang, notre guide Sandrine, avec son œil de lynx, repère facilement de superbes spécimens à plumes ce qui fait vibrer la fibre «ornithologue amateur» en chacun des occupants de la jeep. Et si vous croyez que la vôtre est enfouie bien profondément, soyez assurés qu’elle fera surface rapidement! L’engouement est palpable. Elle arrête régulièrement le véhicule pour nous laisser tout le temps nécessaire d’observer les oiseaux qu’elle nous présente à tour de rôle et de les photographier.


Aigrette

Ici, un héron bien fier qui n’a pas encore eu le temps de se camoufler. Là, une échasse blanche trop mignonne cherchant son prochain repas. Plus loin encore, un huîtrier pie en voie d’extinction rarement observable sous ces latitudes. Je me sens alors bien choyée de les approcher de si près.


Un héron qui prend la pose

L'échasse blanche cherchant son prochain lunch!

Un huîtrier pie qui nous attendait sur le bord du chemin

Et puis, on les aperçoit au loin. Perchés sur leurs longues pattes, ils sont les plus célèbres occupants de l’étang. Et oui, vous l’aurez deviné, il s’agit des fameux flamants roses. Toutefois, il faut savoir que juin n’est pas la meilleure période pour les reluquer. La chaleur et le souffle fort du mistral ce jour-là les gardent plus au large. Mais à travers ma lentille, je réussis tout de même à en mitrailler quelques-uns. Et lorsque j’en vois certains prendre leur envol, je ne peux qu’être éblouie par le spectacle.








Oui, vous le devinez sans doute, j’ai adoré ce moment en Camargue pour le côté sublime de son environnement, sa diversité, ses charmants villages et, bien sûr, pour toute cette faune facilement observable. Ne pas l’avoir vue m’aurait beaucoup peinée. Cette proposition de Camargue Alpilles Safaris a donc été reçue comme un grand moment d’excitation et il a vraiment comblé toutes mes attentes. Grâce à leur excellente guide, je n’ai pas seulement vu la Camargue, je l’ai aussi découverte d’une manière tout à fait intéressante.


Un merci spécial à Sandrine, notre guide!

J’ai beaucoup appris en étant trimballée dans cette jeep même si j’avais beaucoup lu au préalable sur la région. C’est sans doute l’une des meilleures façons d’en faire son apprentissage lorsque, comme moi, on voyage en France sans voiture. Un énooorme merci à l’Office de tourisme d’Arles et à Camargue Alpilles Safaris d’avoir permis cette excursion. Mais surtout, cette expérience aurait été bien différente si ce n’avait été de notre guide Sandrine qui connaissait si bien la Camargue et nous l’a présentée de si agréable façon!

Pour tout savoir sur les circuits, forfaits et tarifs proposés par la compagnie, c’est par ici : www.camargue.com.

J’ai été invitée gracieusement à participer à ce safari par l’Office de tourisme d’Arles et par Camargue Alpilles Safaris mais toutes les opinions émises dans cet article reflètent complètement ma pensée (si je n’avais pas aimé, je ne vous en aurais pas parlé).





Puisque la Camargue se combine à merveille avec un séjour à Arles, lisez (ou relisez) tous mes bons plans à Arles par ici!